J’aimerais bien servir…mais oĂč?!

“Ca y est, je me sens assez Ă  l’aise pour pousser la porte du service au Temple du Marais…mais je ne sais pas du tout quels sont les besoins, ni ce que je pourrais faire concrĂštement, ni si c’est le bon moment en fait!”

Soyez rassurĂ©, si vous vous posez la question, c’est souvent un indicateur que c’est le bon moment.

Entreprendre un projet pour Dieu : un espace de conversion

“Tout est vanitĂ©â€ nous dit le sage dans le livre de l’EcclĂ©siaste. “Tout est accompli” nous dit le Christ sur la croix…

Alors pourquoi entreprendre un projet pour Dieu si tout est vain et dĂ©jĂ  fait ? Qu’il soit grand ou tout petit, je crois qu’un projet pour Dieu n’est jamais sans consĂ©quence : c’est un processus de transformation. En menant Ă  bien le projet de louange ÉpiclĂšse, je suis Ă  prĂ©sent convaincu que les projets que Dieu nous met Ă  cƓur sont plus qu’une simple ligne tendue vers un rĂ©sultat : ce sont des espaces de conversion. 

La foi dans le travail : Notre PĂšre, ce ne sont pas tes affaires ?

Dans un contexte de laĂŻcitĂ© parfois mal comprise, parler de sa foi au travail peut devenir un sujet dĂ©licat. De mĂȘme, Ă©voquer Ă  l’église sa rĂ©ussite professionnelle ou au contraire son nouveau statut de chĂŽmeur peut aussi s’avĂ©rer gĂȘnant. Comment faut-il alors s’y prendre pour conjuguer foi et travail ? Voici quelques pistes nous permettant de rĂ©soudre cette Ă©quation.

Comment inviter le Saint-Esprit dans son salon ?

Le Saint-Esprit est Dieu qui vient Ă  notre rencontre lĂ  oĂč nous sommes et nous donne de faire l’expĂ©rience, aujourd’hui, de la joie, de la libertĂ©, de la paix qui sont caractĂ©ristiques de la communion avec lui. Mais qui est rĂ©ellement cet « invité » et quelle est la nature de sa relation avec «  l’invitant» ? Tenter une rĂ©ponse en quatre points est la gageure proposĂ©e.

Dr Mukwege : comment conjuguer foi et appel ?

Depuis plus de vingt ans, le Dr Denis Mukwege Ɠuvre pour la paix dans son pays, en rĂ©parant les corps des victimes de violences sexuelles en temps de guerre en RĂ©publique DĂ©mocratique du Congo (RDC). Ce travail lui a valu le prix Nobel de la paix en 2018 et d’ĂȘtre surnommé “l’homme qui rĂ©parait les femmes”. Il a opĂ©rĂ© environ 40 000 patientes Ă  l’hĂŽpital de Panzi, oĂč il exerce la chirurgie gynĂ©cologique. J’ai eu l’occasion de l’Ă©couter lors de son passage Ă  Paris fin 2019. Le message qu’il a partagĂ© ce soir-lĂ  m’a beaucoup touchĂ©e.

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